Cette vidéo est devenue virale ces dernières années et a atteint toutes les régions du monde. Avez-vous déjà entendu parler de la vipère gabonaise ? Dans la vidéo où elle a été aperçue dans la rue, elle était parfaitement camouflée avec l’environnement. Au départ, l’œil humain est trompé en ne comprenant pas ce qu’il regarde à ce moment précis. Et c’est carrément dangereux.
La vipère du Gabon est l’une des merveilles de la nature, mais en même temps c’est l’un des animaux les plus dangereux pour la vie humaine . Il vit sur le continent africain, il provient des forêts tropicales luxuriantes et des savanes arides d’Afrique centrale et occidentale.
C’est un serpent bien connu pour sa capacité à se déguiser, un vrai maître du déguisement . Ses longs crocs en font l’un des reptiles les plus venimeux au monde. Si vous êtes mordu par une vipère gabonaise, demandez de l’aide immédiatement. Il peut causer des lésions tissulaires très graves, des douleurs insupportables et finalement la mort.
L’une des caractéristiques qui le rendent unique et reconnaissable est la tête triangulaire. C’est un animal très patient, capable de s’intégrer parfaitement et qui parvient à ne pas être découvert avant de lancer son attaque.
La vipère du Gabon gardée comme animal de compagnie
Heureusement, grâce aux habitats éloignés qu’il choisit habituellement, les rencontres avec l’homme sont très rares. Cependant, plusieurs épisodes inquiétants se sont produits au cours de la dernière année . Bien qu’on ne le trouve qu’en Afrique, certains Américains aiment le garder comme animal de compagnie, à l’intérieur de vitrines.
En 2022, un épisode malheureux s’est produit en Virginie. Un homme a été mordu par son «animal de compagnie» et a été transporté d’urgence à l’hôpital de Richmond, où les médecins ont couru contre la montre pour lui sauver la vie. Ils n’avaient plus de stock d’ anti-venin et ont dû contacter d’autres centres de santé.
D’autres épisodes se sont produits en Géorgie et dans d’autres régions environnantes. Des serpents repérés dans les rues, probablement échappés des mains de leurs » propriétaires « .
